Publié le 16 février 2025

Plan

I. Construire sa vie sur Jésus
A. La parole de Colossiens 2:7
B. Rechercher les réalités d’en haut
C. L’exemple de Jésus dans le jardin de Gethsémané

II. Jésus révèle la foi, l’amour et l’espérance
A. Jésus rend visible la foi en la parole de Dieu
B. Jésus démontre l’amour inconditionnel de Dieu
C. Jésus incarne l’espérance car il a le dernier mot

III. Le reniement de Pierre
A. L’importance des détails sur le reniement
B. Le regard de Jésus et la réconciliation

Pistes

– Méditer sur la fidélité de Dieu envers sa parole et son plan de salut
– Laisser l’amour de Dieu façonner notre identité et notre valeur
– Cultiver une espérance ferme en Jésus, qui a le dernier mot sur notre vie
– Accueillir la grâce de Dieu pour les moments de faiblesse, comme Pierre
– Permettre à Jésus de guérir et de restaurer les relations brisées

Transcription

Alors, il y a une parole de Colossien que j’aimerais d’abord vous donner. Colossien 2,7, il dit « Construisez toute votre vie sur lui, sur Jésus, et attachez-vous de plus en plus fermement à lui. »
qui a 95 ans, si j’ai bien compris, c’est juste. Pour moi, c’est un témoignage. Comment tenir aussi longtemps dans la foi ? Ça, c’est extraordinaire. Pour moi, c’est toujours un témoignage. Lorsque quelqu’un part, elle laisse ce témoignage qui a construit sa vie sur Jésus.
Construisez votre vie sur lui. Et dans le chapitre 3, il est dit, recherchez donc les réalités d’en haut. Parce que Christ est en haut, dit l’apôtre Paul. Recherchez les réalités d’en haut. Là où se trouve le Christ, qui siège à la droite de Dieu. Moi, je sors d’une semaine de ski. Il y a des amateurs de ski ?
Oui, vous connaissez les différentes pistes, les noires, les rouges, les bleus, les verts. Vous êtes sur un télésiège, vous montez, vous avez la perspective du ciel, en quelque sorte, et puis, quelques instants après, vous vous trouvez devant les bosses de la piste noire.
Et vous êtes content qu’il y a quelqu’un avec vous qui ramasse vos skis lorsque vous tombez, qui vous relève ou qui vous donne des conseils, que ce soit sur une piste rouge ou bleue, quelqu’un qui vous accompagne, qui regarde comment vous faites et qui vous dit sur quoi…
Et baser la technique de ce sport. Parfois, on se trouve sur des pistes noires, effectivement, avec les bosses, avec les chutes, avec la crainte. Construisez toute votre vie sur lui. Et aussi, parfois, on se trouve dans la situation de celui qui fait sa…
Son excursion, il tombe dans un ravin et au dernier moment, il attrape une branche et il se tient. Qu’est-ce qu’il fait ? Il prie. Seigneur, aide-moi. Et le Seigneur répond, il dit, lâche prise, je te retiens. Déjà, je regarde en bas, je me dis, où là ? Je regarde mes mains.
Et je dis, combien de temps ? Elles vont faiblir. Je regarde la branche. Oula, combien de temps elle va tenir ? Du coup, je regarde autour de moi et je m’écris, est-ce qu’il y a quelqu’un d’autre qui peut m’aider, qui a une idée plus réaliste, plus terre à terre, que je peux comprendre ?
Construisez votre vie sur le Seigneur. Alors, quel est le rapport avec le chapitre 18 de Jean ? Vous avez lu le chapitre 18 ? Oui, c’est l’histoire de Gethsemane. Je vais lire quelques versets. Après avoir…
Ainsi prié, Jésus s’en alla avec ses disciples et traversa le torrent de Cédron. Il y avait là un jardin où il entra avec eux. Or Judas, qui le trahissait, connaissait bien cet endroit, car Jésus y était rendu souvent avec ses disciples. Il prit donc la tête d’une troupe de soldats et de gardes fournies par les chefs des prêtres.
et les pharisiens, et il arriva dans ce jardin. Ces hommes étaient munis de lanternes, de torches et d’armes. Jésus, qui savait tout ce qui allait lui arriver, s’avança vers eux et leur demanda « Qui cherchez-vous ? » Ils lui répondirent « Jésus de Nazareth, c’est moi, leur dit-il. »
Au milieu d’eux se tenait Judas, celui qui le trahissait. Au moment même où Jésus leur dit « C’est moi », ils eurent un mouvement de recul et tombèrent par terre. Une seconde fois, il leur demanda « Qui cherchez-vous ? » « Jésus de Nazareth », répétirent-ils. « Je vous ai dit que c’était moi », reprit Jésus. « Puisque c’est moi que vous venez chercher, laissez partir les autres. » Ainsi s’accomplit cette parole qu’il avait prononcée peu avant.
« Je n’ai perdu aucun de ceux que tu m’as donnés. » Simon-Pierre, qui avait une épée, la dégaina, en donna un coup au serviteur du grand prêtre et lui coupa l’oreille droite. Ce serviteur s’appelait Malcus. Jésus lui dit, « Remets ton épée au fourreau. » « Ne dois-je pas boire la coupe de l’épreuve que le Père m’a destinée ? » Je vais aller jusque-là. Après, il y a…
Les soldats qui l’amènent devant les autorités s’ensuient le reniement de Pierre trois fois. On va y revenir tout à l’heure. Et il faut noter que…
Le nombre de versets par rapport au reniement est important dans l’ensemble du texte. C’est très étonnant. Il y a beaucoup de détails sur le reniement, presque autant ou plus que par rapport à Jésus et la conduite au procès.
Ce passage qui raconte l’arrestation et le procès qui s’ensuit jusqu’à la crucifixion. Et on voit tout de suite que toutes les forces sont en mouvement. Toutes les forces. C’est Judas le bras long du diable. Je ne vais pas en parler parce qu’on a déjà entendu un message sur Judas.
Il y a les soldats qui sont au service des autorités, qui défendent une religion. Il y a les curieux. Il y a les figurants qui s’en prennent aux disciples, en l’occurrence à Pierre. Jésus avait dit auparavant, vous allez être tous ébranlés dans votre foi.
Car il est écrit, « Je frapperai le berger et les preuves s’enfuiront de tous côtés. » Toutes les forces sont en mouvement. La fuite n’est plus possible. Est-ce que tu peux montrer l’image ? C’est quoi votre avis ?
Voilà, c’est Joseph, Marie et Jésus, ils vont où ? Ils vont en Égypte, ils s’enfuient. Ils s’enfuient. Lorsque je devais me préparer à l’opération de la hanche, j’avais le temps, alors j’ai sculpté.
J’ai sculpté Jésus en fuite. Jésus qui fuit. Une trentaine d’années après, Jésus ne s’enfuit plus. Il n’est plus en fuite. Qui cherchez-vous ? C’est moi.
Alors, apprendre à sculpter Jésus en trois dimensions, ce n’est pas évident. Sculpter en trois dimensions, ce n’est pas évident. Parce qu’il faut s’imaginer ce qui est derrière. Quels sont les détails derrière ? Parce qu’au début, vous avez un bloc de bois, mais vous ne savez pas encore comment c’est fait derrière.
à l’arrière du bloc de bois. Sculpter Jésus, c’est un devoir, c’est une occupation de toute notre vie. Jésus qui n’est plus en fuite. Et pourquoi tu peux éteindre ? Pourquoi Jésus ne s’enfuit plus ? Pourquoi ?
il ne s’en fit plus parce que le sommet a été atteint il a tout fait et tout dit pour que le procès soit basé sur la seule dimension qui compte et c’était quoi ? il est le fils de Dieu tout le reste est exclu le procès doit se faire sur la déclaration
Je suis le Fils de Dieu. Alors à ce moment-là, il a tout fait, tout dit pour que le procès soit orienté vers cette seule dimension qui compte, le Fils de Dieu. Jésus n’est plus en fuite. Nous pouvons compter sur lui. Il est là.
Je peux apprendre à sculpter Jésus dans son rôle dans ma vie. Quel est son rôle dans l’Église ? Quel est son rôle dans l’univers entier ? Sortir le couteau et tous les jours gratter un petit peu, continuer à le…
à le rendre visible pour moi. Alors Jésus s’en fit plus pour rendre visible quoi ? La foi, l’amour et l’espérance. Il y a ces trois choses que j’aimerais relever un petit peu. Il rend visible la foi. Sur qui ou sur quoi est basée la foi ?
Il rend visible l’amour de Dieu et il rend visible l’espérance. Et dès le début, dans le jardin de Gethsémane, on a l’impression qu’on prive Jésus de l’autonomie.
de la liberté, on le fait prisonnier, mais en réalité, c’est lui qui constitue un cortège. Les gens ne se rendent pas forcément compte, mais c’est lui, à partir de ce moment-là, qui forme un cortège dans le sens d’une suite, une suite qui va
suivre Jésus, lui à la tête de ce cortège. Ils pensent maîtriser Jésus, ils pensent le prisonnier, l’amener au procès, mais en réalité, c’est Jésus qui amène toute cette foule, les Romains, les étrangers, les curieux.
Il les amène pour voir la foi, l’amour et l’espérance. Il y a tout le monde dans ce cortège. C’est très intéressant parce que Jésus a choisi en quelque sorte le moment où le monde entier était réuni en Israël.
Et suivre ce cortège jusqu’à la croix où il dit tout est accompli. Alors qui cherchez-vous ? Qui cherchez-vous ? Et il demande deux fois pourquoi il ne faut pas qu’il se trompe de cible. Il ne faut pas qu’il se trompe de cible parce qu’il ne s’agit pas de mouvement, il ne s’agit pas d’un groupe de disciples.
mais il s’agit de Jésus de Nazareth. Et dans Luc 22, il a dit « Car il est écrit, il a été mis au nombre des criminels, et cette parole doit s’accomplir, car tout ce qui a été écrit de moi va s’accomplir. » Jésus est l’accomplissement, il est la base de la foi.
Jésus dit, regardez la parole, tout s’accomplit à mon sujet. Donc, vous pouvez comprendre le degré de fiabilité, le degré de fiabilité de la parole. Je suis la démonstration par excellence. La foi n’est plus seulement, je crois qu’il va faire beau.
La foi, c’est ne pas voir, mais c’est d’entendre Jésus dire, je veille avec la même intensité sur l’accomplissement de la parole dans ta vie, avec la même intensité que j’ai veillé sur la parole qui doit s’accomplir à mon sujet.
Je veille sur l’accomplissement dans ta vie. Ça, c’est la foi, c’est la base de la foi, la parole. Que tu te retrouves sur une piste noire, rouge ou bleue, Jésus veille pour que ta foi soit basée sur la parole fiable.
Et quand Jésus a dit « Je suis tel celui que vous cherchez », ils eurent un mouvement de recul. C’est étonnant ce détail. Ils sont tombés à genoux. Ils ne sont pas restés à genoux. Ils se sont relevés pour l’amener au procès.
Mais en réalité, Jésus ne te laisse pas beaucoup de possibilités. Soit tu restes à genoux et tu reconnais Jésus en tant que fils de Dieu, ou tu te relèves et tu l’amènes au procès. Faire le procès de Dieu. Pourquoi il y a tant de problèmes dans le monde ?
Toutes ces choses qu’on reproche, pourquoi Dieu n’agit pas ? Mais face à Jésus, il n’y a pas beaucoup de possibilités. Quelle est la possibilité que tu choisis ? Un peu plus loin, il dit, lorsque Pierre veut sauver la situation avec une épée, Jésus dit non.
Ne dois-je pas boire la coupe de l’épreuve que le Père m’a destinée ? Et à cet endroit, j’entends Jean, l’évangéliste Jean, qui dit Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils. Dieu a tant aimé le monde. Comment expliquer l’amour de Dieu ? Comment pouvons-nous expliquer cet amour ?
Nous sommes souvent portés sur les choses éphémères lorsque nous aimons la beauté, l’intelligence, la richesse, les choses qui nous ressemblent. L’apôtre Paul utilise souvent le mot mystère quand il parle des choses de Dieu.
Un mystère. Je pense que l’amour de Dieu, c’est un mystère qui nécessite une révélation, une démonstration. Et là, Jésus, par son acte, rend cet amour visible. Il la rend visible. Et lorsque je la vois, cet amour sur la croix,
Il m’incite à m’interroger. Qu’est-ce qu’il aime tant en moi ? Qu’est-ce qu’il aime tant en vous ? Récemment, j’étais chez un client pour faire des travaux et on a commencé avec le café. Pas toujours comme ça, mais quand j’ai terminé le travail…
J’ai demandé, mais qu’est-ce que vous avez fait dans votre vie ? Il a dit, hop, re-café. Je suis resté une heure. Il m’a dit qu’à l’âge de 37 ans, il s’est converti. Il a fait une école biblique et il a commencé un travail dans un pays de l’Amérique centrale.
le Honduras. C’est un des pays où il y a plus de criminalité au monde. Il a commencé un travail dans les prisons. Les prisons sont remplies. Mais qu’est-ce que vous leur dites à ces gens-là ? Lorsque vous dites Dieu vous aime,
Mais qu’est-ce que Dieu aime chez moi et en moi ? Qu’est-ce qu’il aime chez ces criminels ? C’est son œuvre. Parce que nous sommes sa création. C’est ça qui est durable. Ce ne sont pas des choses éphémères.
qui peuvent disparaître, qui peuvent changer. C’est son œuvre qui est en toi. C’est ce qu’il aime, sa création. Et il a fait la démonstration à la croix.
C’est une révélation qui a besoin de trouver le chemin de ton cœur. Que cet amour rentre au plus profond de ton cœur. Pour que tu puisses dévaler les pistes. Les pistes noires, les pistes bleues.
les bosses, les chutes. Jésus t’aime. Tu n’as rien à rajouter. Tu n’as rien à prouver. C’est son œuvre qui est en toi, qu’il aime.
Jésus fait la démonstration de la foi, de l’amour, on l’a vu, mais aussi de l’espérance. Espérer, n’est-ce pas ? C’est un peu le regard vers devant, vers le futur. Alors, comment résumer l’espérance chrétienne ? Comment résumer l’espérance chrétienne ?
Je le dirai avec cette phrase, Jésus a le dernier mot. Jésus a le dernier mot. Résume l’espérance chrétienne. On le voit déjà ici avec Pierre, où il dit, range ton épée. Ce n’est pas comme ça qu’il faut faire. C’est moi qui ai le dernier mot. Je maîtrise.
Envers les soldats, où Jésus dit, laisse partir les autres, laisse partir les autres. Le grand conseil, plus tard, enchaîné, qui dit, es-tu le fils de Dieu ? Et il dit, je le suis.
Je le suis parce que c’est vrai, il a le dernier mot. Avec Pilate, c’est un peu plus loin. Qu’est-ce qu’il dit à Pilate ? Étant enchaîné devant lui, Pilate, le représentant du plus grand pouvoir de l’époque, « Tu n’as pas de pouvoir sur moi. »
Il dit ça envers l’Empire romain. Vous n’avez pas de pouvoir sur moi. Et qu’est-ce qu’il dit à la croix ? Il a le dernier mot. Tout est accompli. Et après, vous prenez l’Apocalypse. Il a le dernier mot.
L’espérance chrétienne, c’est Jésus qui a le dernier mot. Que ce soit sur ta piste noire, dans le monde ou dans l’univers, Jésus a le dernier mot. Alors, je vous ai dit que…
Tous les évangiles insistent beaucoup sur le reniement de Pierre. Et le texte est assez complet. Je vais lire quelques versets. Simon Pierre et un autre disciple suivent Jésus. Ce disciple connaissait personnellement le grand prêtre.
On ne sait pas qui c’est vraiment, c’est peut-être Jean même. Elle entre en même temps que Jésus dans la cour du palais du grand prêtre. Pierre, lui, reste dehors, près du portail. L’autre disciple, qui connaissait le grand prêtre, ressortit donc, dit un mot à la concierge et fit entrer Pierre. La servante qui gardait la porte demanda alors à Pierre, « Ne fais-tu pas partie, toi aussi, des disciples de cet homme ? »
Non, vous vous rendez compte ? Durant trois ans, il était toujours le premier à répondre, à ouvrir la bouche. Non, lui répondit-il, je n’en suis pas. Un peu plus loin.
Pendant ce temps, Simon-Pierre se tenait toujours au même endroit et se chauffait. Quelqu’un lui dit « N’es-tu pas toi aussi un des disciples de cet homme ? » Mais Pierre le nia en disant « Non, je n’en suis pas. » Un des serviteurs du grand prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l’oreille, l’interpella « Vrayons ! »
Ne t’ai-je pas vu avec lui dans le jardin ? Mais Pierre le nia de nouveau et aussitôt un coq se mit à chanter. Trois fois, trois fois. Et en plus, Jésus l’avait averti. Le coq qui chantait et après, un des évangiles.
que Jésus l’a regardé. Jésus a tourné la tête pour le regarder. Et Pierre, qu’est-ce qu’il a fait, lui ? Il est sorti et il a pleuré. Il s’est rendu compte. Mais alors ?
Ils se rendent compte que revenir en arrière n’était plus possible et qu’il fallait une autre solution. Revenir en arrière n’était plus possible. Il faut une autre solution. Je trouve que c’est plus que symbolique, c’est vrai, l’endroit que l’auteur a choisi.
au milieu du procès de Jésus. Et ça montre que Jésus prend le reniement de Pierre jusqu’à la croix. Et il rejoint Pierre après la résurrection, pour faire le point. Vous voyez ?
Jésus aimerait amener les choses à la croix et nous rejoindre après la résurrection pour faire le point. C’est après la résurrection qu’on le rejoint et qui va nous révéler toute la portée et la profondeur de la croix.
Et il va nous dire qu’il a porté, il a amené à la croix tous les non-retours possibles. Voyez ? Le péché, c’est un retour n’est plus possible. C’est fait. Et Jésus dit, mais j’ai amené ça à la croix. Pour faire le point,
Pour réveiller en pierre la bourre, m’aimes-tu ? Pour dire que, est-ce que tu as compris que la foi, c’est moi ? Parce que je tiens parole ? Tu as compris que je t’aime ? J’en ai fait la démonstration à la croix. Tu as compris que je t’aime ?
Et que je suis l’espérance, car j’ai le dernier mot. J’ai tout fait pour la réconciliation. Tout fait pour la réconciliation. Et entre parenthèses, je pense que Jean a écrit aussi et les autres évangiles.
les détails sur Pierre pour qu’il n’y ait pas de rumeurs nous lisons dans un passage aussi après la résurrection que Jésus demande que va-t-il se passer avec l’autre là qui nous suit et Jean précise Jésus ne voulait pas dire ceci ou cela parce qu’il y a eu des rumeurs sans doute alors Jean
veut éviter qu’il y ait des rumeurs qui restent quant à Pierre. Il veut montrer que Jésus a réglé la chose avec Pierre et il n’y a plus de rumeurs possibles. Parce que Jésus aimerait que la réconciliation, cette relation avec le Seigneur,
Soit une relation sans rumeurs. Tu as fait des choses dans la vie ? Oula, il a fait des choses dans la vie. Le Seigneur dit, non, je l’ai porté à la croix. Il n’y a plus de rumeurs. Ce n’est plus la peine. Vous voyez ? Les rumeurs. Il a fait ceci, il a fait cela. Souvent, nous, c’est toujours présent.
Non, le Seigneur a porté à la croix pour qu’il y ait une réconciliation sans rumeurs. Construisez votre vie sur le Seigneur Jésus-Christ. Voilà le défi. Mais on a les outils, la foi, l’amour du Seigneur.
et l’espérance.