- Introduction
- Steve Taylor commence par poser trois questions fréquentes qui reflètent une perception de conflit entre science et foi :
- Les scientifiques ne croient pas en Dieu ?
- La science a-t-elle toutes les réponses, rendant la foi inutile ?
- La science est-elle fondée sur des preuves, tandis que le christianisme est fondé sur la foi ?
- Steve Taylor commence par poser trois questions fréquentes qui reflètent une perception de conflit entre science et foi :
- I. Des grands scientifiques, hommes de foi
- Pour réfuter l’idée que les scientifiques ne croient pas en Dieu, le professeur Taylor cite des exemples de grands scientifiques chrétiens, notamment dans son domaine du génie électrique : Michael Faraday, James Clerk Maxwell, John Ambrose Fleming. Il souligne qu’ils étaient tous des chrétiens convaincus, certains même créationnistes.
- Il mentionne également Louis Pasteur, pionnier de la microbiologie, qui voyait dans ses recherches la preuve de la création divine.
- Blaise Pascal, mathématicien extraordinaire, est cité pour son affirmation de la présence d’un vide dans le cœur de l’homme que seul Dieu peut combler.
- Il mentionne l’existence de nombreux autres scientifiques chrétiens contemporains et souligne que les universités prestigieuses comme Oxford et Cambridge portent le nom de saints chrétiens, ce qui témoigne de l’héritage chrétien à l’origine de la science moderne.
- L’essor de la science après la Réforme est attribué à la redécouverte de la Bible et à la vision d’un univers ordonné par Dieu, encourageant l’exploration scientifique.
- II. Les limites de la science
- Le professeur Taylor utilise l’analogie d’un gâteau pour illustrer les limites de la science : la science peut expliquer la composition du gâteau, mais ne peut répondre à la question du « pourquoi » il a été fait.
- La science ne peut répondre à des questions existentielles telles que la vie après la mort.
- L’exemple de l’ADN « inutile » démontre que la science est en constante évolution et que ses conclusions peuvent être remises en question.
- Les méthodes scientifiques basées sur des expériences répétitives ne sont pas adaptées aux événements uniques du passé, comme la vie de Jésus.
- III. La foi chrétienne, fondée sur des preuves
- Il réfute l’affirmation de Richard Dawkins selon laquelle la foi est l’absence de réflexion et de preuves.
- Il définit la foi chrétienne comme un jugement basé sur des preuves raisonnables, illustrée par l’analogie de la confiance accordée à un pilote d’avion que l’on ne connaît pas personnellement.
- Le professeur Taylor présente trois types de preuves pour la foi chrétienne :
- La création: l’ordre et la complexité de l’univers témoignent d’une conception intelligente. L’exemple du moteur ATP, « le plus petit moteur du monde », montre une technologie « brillante et hors du commun ».
- La Bible: ses enseignements sont intemporels et sans erreurs, ses prophéties se réalisent jusque dans les moindres détails. L’exemple de la prophétie d’Isaïe 53 concernant la crucifixion de Jésus est cité.
- Christ: sa vie, son enseignement, ses miracles et sa résurrection sont des faits historiques attestés par de nombreux témoins oculaires. Le tombeau vide de Jésus est une preuve irréfutable de sa résurrection.
- IV. Des vies transformées
- Steve Taylor présente les transformations radicales observées dans la vie des apôtres de Jésus (Pierre, Thomas, Paul), ainsi que d’autres personnages historiques comme Augustin et John Newton, comme une preuve supplémentaire de la puissance de la foi chrétienne.
- Conclusion
- La science et la foi ne sont pas ennemies, mais amies. Le conflit se situe plutôt entre le christianisme et le naturalisme, une philosophie sans preuves.
- Le professeur invite à la réflexion sur les questions de l’origine de l’univers et de la vie, auxquelles le naturalisme ne peut répondre, et conclut en réaffirmant le message d’amour et de salut de la Bible.