Plan détaillé
Introduction
- Le point central de Noël : le Sauveur, pas le shopping
- Notre joie ne vient pas des cadeaux sous l’arbre, mais du cadeau mort sur la croix
- L’enjeu crucial : ce que tu crois sur Jésus dicte ton comportement et ta destinée
I. Une conception divine (v.18)
- Marie est enceinte du Saint-Esprit avant toute union avec Joseph
- C’est le seul homme conçu par le Saint-Esprit
- Son sang est différent, il a le pouvoir de libérer du péché
- Il est homme ET Dieu
II. Annoncé dans les Écritures
- Ésaïe 7:14 prophétise 700 ans avant : la vierge sera enceinte
- Ésaïe 9:5 révèle ses noms : Admirable Conseiller, Dieu Puissant, Père Éternel, Prince de la Paix
- Les prophéties bibliques se réalisent, confirmant la puissance de la Parole
- Jésus est le seul chemin vers le salut (Jean 10 et 14:6)
III. Le nom de Jésus
- Yeshoua = Sauver, délivrer
- Ses nombreux noms dans la Bible : Emmanuel, Alpha et Oméga, Pain de vie, Agneau de Dieu
- Jésus dans chaque livre de la Bible :
- Ancien Testament (Genèse à Malachie)
- Nouveau Testament (Matthieu à Apocalypse)
- Philippiens 2:9 : le nom au-dessus de tout nom
- Témoignages personnels de la puissance de son nom
IV. Sa mission (v.21)
- Sauver son peuple de ses péchés = délivrer
- Nous étions tous esclaves du péché, besoin d’être délivrés et pardonnés
- Éphésiens 2:12-13 : de loin à proches par le sang de Christ
- Accès direct à Dieu, sans intermédiaire
- Jésus comprend la tentation car il l’a vécue sans pécher
- L’Évangile qui sauve : né d’une vierge, vie sans péché, mort à la croix, enterré, ressuscité
V. Son peuple
- Jésus sélectionne son peuple
- Nous sommes dans la famille de Dieu par son choix
- Venu d’abord pour les Juifs (Jean 1:11), rejeté, puis ouvert aux païens
- Une église pour toutes les nations
- Sa résurrection le rend unique : tous les autres sont morts, lui est vivant
Conclusion : La Sainte Cène
- Rappel que Dieu est vivant
- Passerelle entre la Terre et le ciel
- Importance de la réalité physique de Jésus : vraiment venu en chair, vraiment ressuscité
- Il est vivant maintenant, en chair et en os, assis à la droite du Père
- Célébrons son incarnation
Transcription
Oui, bonjour à toutes et à tous. C’est un une grande joie de vous revoir en ce début de deuxième semaine de l’avant, cette saison si particulière pour l’église. Et on va en parler aujourd’hui bien sûr. Je tiens à vous rappeler qu’il est possible de visionner et de réécouter ces messages sur la chaîne YouTube AguadeVida. Le plus simple, si vous n’avez pas cette chaîne, c’est de faire une photo avec votre téléphone de ce QR code qui vous amène directement sur la chaîne. C’est évidemment gratuit et ça vous permet de visionner ces messages. Je sais qu’il y a des fois beaucoup d’informations, que ça va des fois un petit peu vite dans mes messages. Alors on m’a souvent demandé souvent demandé s’il y avait une possibilité de les revisionner. Donc voilà une option pour le faire. Je laisse encore 2 secondes pour ceux qui aimeraient faire une photo. Je vois qu’il y a quelques appareils qui font une photo. C’est bon ? Ah bah c’est plus là maintenant. Voilà. Ok. Alors, j’aimerais vous parler aujourd’hui. Le sujet de ce message, c’est pourquoi célébrer Noël ? C’est une question, en fait. Donc voilà, c’est la saison. Nous sommes dans cette saison de Noël. C’est un jour spécial. C’est pas juste un anniversaire comme un autre. C’est la naissance de notre Sauveur. Et nous avons eu l’occasion de le chanter et de le louer pour cela. C’est l’incarnation l’incarnation de Dieu sur terre, sous la forme d’un homme. Sa naissance est spéciale. Et permettez-moi de vous rappeler que le point central de cette période de Noël, ce n’est pas d’aller faire du shopping. C’est le Sauveur que nous célébrons. Et nous devrions célébrer la délivrance du péché, et la mesure de notre joie ne devrait pas être dictée par les cadeaux qui se trouvent sous l’arbre, mais par le cadeau qui est mort pour nous sur le bois de la croix. C’est cela que nous célébrons. Il est dans une catégorie spéciale et unique. Il y a quelque chose d’unique à son sujet. D’ailleurs, on a cherché partout. L’humanité a cherché partout pendant tous les temps, mais on a trouvé personne de comparable à Jésus. Et j’aimerais commencer par vous lire ce passage que vous connaissez bien dans Matthieu 1, les versets 18 à 23 et je les lis comme comme à mon habitude dans la Bible dans la version la traduction de la Bible à la Colombe. Matthieu au chapitre 1, les versets 18 et suivants. Voici comment arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph. Avant leur union, elle se trouva enceinte du Saint-Esprit. Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, voici qu’un ange du Seigneur lui apparut en songe et dit : Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit. Elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple des péchés. De son peuple de ses péchés. Tout cela arriva afin que s’accomplisse ce que le Seigneur avait déclaré par le prophète : Voici que la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui se traduit, Dieu avec nous. Voilà la Parole du Seigneur. Et vous la connaissez cette Parole, et le monde la connaît, il l’a entendue à de maintes reprises. Et pourtant, et pourtant, le monde n’aime pas parler de Jésus. Pourquoi ? Car le monde ne peut pas accepter la simplicité de son message, et aussi ce que ce message implique. Alors le monde a bien essayé de lui créer des substituts et des subterfuges, comme le Père Noël. Et attention, parce qu’il faut surtout pas toucher à cette illusion que le monde a créé. Moi j’ai un ami pasteur, et ses enfants, ils sont allés à l’école. Les petits enfants. Et puis ils ont dit aux autres : « Ouais mais le Père Noël ça existe pas. » Mais ça a créé un scandale. Le pasteur et sa femme, ils ont été cités à la commission scolaire. Ils ont dû aller s’expliquer. Ils ont dit : « Mais pourquoi qu’est-ce que vous venez qu’est-ce que vos enfants viennent dire ici que le Père Noël n’existe pas ? » Mais gardez vos théories pour pour vos sectes. Il leur ont dit : « Gardez vos théories dans vos sectes. » Et puis laissez le rêve aux enfants. Laissez leur au moins le rêve. Laissez-leur au moins ceci, ce rêve, ce rêve, cette illusion. Le Père Noël, un personnage imaginaire, c’est ça que le monde défend. Car si le monde ne croit pas en Dieu, il essaie malgré tout de se raccrocher à une forme d’espoir, de petit espoir surnaturel. C’est pourquoi les gens se fâchent si vous allez dire à leurs enfants que le Père Noël n’existe pas. Mais ils se fâchent aussi si vous commencez à leur prêcher la bonne nouvelle de Jésus. C’est beaucoup plus facile pour les adultes d’accepter un mythe qu’il contrôle, plutôt que d’accepter Dieu Tout-Puissant qui contrôle tout. Oui, le Père Noël est un imposteur, car on lui attribue des pouvoirs miraculeux. Dans les films, on sait dans les contes, il peut traverser le ciel, il peut donner des cadeaux à des milliards d’enfants en même temps. Il a aussi le pouvoir de juger qui sont les enfants sages et qui sont les enfants qui sont pas sages. Il a le pouvoir de passer dans les cheminées sans se salir, il a des pouvoirs même des fois de redonner la vie dans certains films. C’est des pouvoirs, on sait pas qui lui a donné, qui lui aurait donné ces pouvoirs. Mais moi je me souviens quand j’étais enfant. Moi j’ai pas grandi dans une famille chrétienne. Alors on apprenait des poésies et puis des chants. Et puis on allait voir le Père Noël, et puis il fallait s’asseoir sur ses genoux pour faire la photo. Et moi je me souviens qu’enfant, moi j’avais j’avais des espérances par rapport à ça, ce Père Noël c’était quelque chose de mais c’était quelque chose de on va dire magique, surnaturel. Et je me souviens, j’avais bien appris mes poésies et je suis allé là m’asseoir sur le Père Noël. Et je me souviens du vide que j’ai senti. Parce que j’ai récité ma poésie, et je me souviens du vide, parce qu’il y avait rien. Il y avait pas de répondant. C’était quelqu’un déguisé avec une… il y avait pas de réponse. Il a fait un petit sourire pour la photo. Il y avait pas d’interaction, il y avait pas de relation. Et pourtant, l’origine de ce mythe, elle était pas si mal au départ. C’était Saint-Nicolas, que d’ailleurs qui a été fêté hier, le 6 décembre, hein. Euh, Saint-Nicolas c’était euh l’évêque de Myre dans la jeune Église hein, au troisième, quatrième siècle. Et et c’était un évêque, et alors c’est cette figure qui a été reprise, qui est devenue le Saint-Nicolas. Bah vous savez, ça se fête aussi au Jura, et vous voyez d’ailleurs, ça c’est l’image du Saint-Nicolas du Jura, il a la mitre de l’évêque avec la croix, parce que ça se base sur le Saint-Nicolas et c’est ce personnage qui a donné plus tard le Père le Père Noël par des modifications commerciales et de marketing. Et alors j’ai vu d’ailleurs ça a lieu aujourd’hui euh dans dans le Jura, il y a le train du Saint-Nicolas. Et puis alors j’ai regardé le programme que le monde propose. Alors le train du Saint-Nicolas, il y a un clown, il y a des contes pour les enfants, et puis à la rencontre avec Saint-Nicolas qui vient distribuer des cornets surprises dans une dans une ambiance féerique. Alors vous voyez, on est dans le monde des clowns, on est dans le monde des fées, dans le monde des contes de fées. Et il y a encore pire. Il y a alors ça c’est vous voyez après, c’est ce qu’on a fait. On lui a donné des lutins qui le trimbalent. Et puis vous voyez cette cette image ici c’est de 1900. Et puis là on sait plus si l’habit du Saint-Nicolas, c’est déjà plus l’habit d’évêque, c’est déjà une sorte d’habit de Merlin l’enchanteur. Et puis il y a ces lutins qui le trimbalent, puis si vous voyez sa tête, il n’a pas l’air joyeux du tout. C’est-à-dire qu’il se dit : « Mais qu’est-ce qu’on me trimballe ici, qu’est-ce qu’on me fait faire ? C’est quoi ces histoires ? » Et puis il y a les lutins de la Migros qui nous ont envahi euh depuis un moment. Moi ça fait quelques années que je prêche là-dessus, parce que chaque fois, ils envahissent la télévision, et puis je dis : « Mais c’est quoi les qu’est-ce qu’on qu’est-ce qu’on transmet, qu’est-ce que les personnes doivent penser pour la période de Noël ? » Et puis maintenant, ils lui ont créé toute une famille à ce lutin. Ils ont fait toute une histoire, puis vous pouvez acheter les peluches et c’est complètement envahissant. Et puis Migros vous dit dans le le slogan marketing que c’est le plus adorable des lutins. Et attention, parce que si vous dites pas qu’ils sont mignons, si vous dites pas qu’ils sont mignons, bah le monde va vous dire : « Ouais, mais vous êtes des vieux schnocks aigris et sans cœur. » Parce que le monde veut que vous disiez : « Ouais, mais ils sont tellement choux ces lutins, ils sont tellement choux. » Et puis il faut acheter des peluches. Vous voyez, c’est ça que le monde préfère défendre. L’imaginaire. Le monde préfère défendre l’imaginaire parce que le monde essaie d’effacer Dieu qui, lui, est réel. Alors moi, je veux pas que vous passiez un Noël dans l’ignorance et la dans la niaiserie. Je veux que vous passiez un Noël puissant, car Jésus, c’est pas un rêve, c’est pas un conte de fées, il est réel. Alors on va parler de lui aujourd’hui. Et si vous êtes en recherche de certitude, et bien ce message est pour vous. On peut débattre de plein de choses, vous savez, dans l’Église, on peut débattre de plein de sujets, et on le fait d’ailleurs. Quand est-ce que Jésus revient ? Est-ce qu’il revient avant le millénium, après le millénium ? Et puis comment ça se passe avec l’enlèvement de l’Église et puis ça vient quand ? Et puis le culte, il faut avoir le culte le samedi ou bien le dimanche ? Et puis le parler en langue. Est-ce qu’il faut parler en langue ou est-ce qu’il faut pas parler en langue ? Et puis si on parle en langue, est-ce qu’il faut un interprète ou pas ? Et puis la Sainte Cène, il faut faire avec du vin ou avec du jus de raisin ? Et puis les femmes, elles peuvent servir la Sainte Cène ou pas ? Et puis à l’Église, est-ce qu’on a le droit de jouer de la batterie et de la guitare ? Vous savez, dans des églises on n’a pas le droit de jouer, ils acceptent pas la guitare et les instruments électriques. Euh et puis les baptêmes, est-ce qu’il faut baptiser par immersion totale ou bien par aspersion ? Vous voyez, il y a tout ce genre de batailles dans les églises. Mais ça, c’est des batailles inutiles, parce qu’il y a une chose qui est essentielle, c’est ce que tu crois à propos de Jésus. Et il y a deux choses sur lesquelles on peut pas négocier ou débattre. La première, c’est sa naissance virginale et surnaturelle, et la deuxième, je dirais que c’est sa résurrection aussi surnaturelle. Ces choses sont importantes, pourquoi ? Parce que ce que ce que tu crois à son sujet va dicter ton comportement et ta destinée. Tu peux pas être en rébellion contre Dieu et penser que tu vas simplement arriver au paradis comme ça parce que le Bon Dieu comprend. Non. Quand tu places ta foi en Jésus et que tu crois en sa naissance miraculeuse et en sa résurrection, ton comportement change par la vertu de la promesse de Dieu et par la puissance du Saint-Esprit. Dieu promet de te changer. Il y a certains endroits où tu allais dans ta vie avant où tu ne vas plus maintenant. Il y a certaines personnes que tu fréquentais que tu ne fréquentes plus maintenant. La naissance virginale de Jésus, c’est notre célébration à Noël. Et si tu ne crois pas à cela, alors tu ne crois pas en Jésus. La Parole est très claire à ce sujet : s’il n’est pas né d’une vierge, alors notre foi est vaine. S’il n’y a pas de résurrec s’il n’y a pas de résurrection, alors notre foi est vaine. Et si ta foi est vaine, alors Jésus va te dire qu’il ne t’a jamais connu, et ta destinée est la damnation éternelle. Vous n’aimez pas ce message, mais c’est pourtant vrai et la Parole le dit dans 2 Thessaloniciens au chapitre 1 verset 9 : Ceux qui ne connaissent pas Dieu et qui n’obéissent pas à l’Évangile auront pour juste châtiment une ruine éternelle loin de la face du Seigneur et de la et de la gloire de sa force. Je suis désolé de vous le dire, mais l’Esprit m’a mis à cœur de vous le rappeler et de vous avertir. Je sais pas où vous avez envie d’aller, mais moi j’ai pas envie de finir dans la ruine éternelle, je veux être avec le Seigneur. Et pour cela, il faut commencer par comprendre ce qui se passe à la naissance de Jésus. Voilà donc l’enjeu de cet événement si spécial que nous allons commémorer. Il faut prendre la naissance du Christ très au sérieux. Alors, pourquoi c’est spécial ? Eh ben premièrement, parce qu’il s’agit d’une conception divine. Conception divine, on le voit au verset 18 de notre texte. Voici comment arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph. Avant leur union, elle se trouva enceinte du Saint-Esprit. Avant qu’ils soient ensemble, avant d’avoir un rapport sexuel avec Joseph, Marie est enceinte du Saint-Esprit. Ça vient directement de Dieu. C’est de manière surnaturelle que la semence de Dieu a été placée dans sa mère. Elle n’avait pas connu d’homme, mais elle a enfanté Christ. C’est le seul homme qui a été conçu par le Saint-Esprit. Son sang est différent. Si elle avait couché avec Joseph ou avec un autre homme, alors Jésus serait simplement un homme comme toi et moi. Et son sang ne serait pas différent. Il n’aurait pas le pouvoir de nous libérer du péché. Oui, il est homme, mais il est Dieu aussi. Ça c’est le premier point. Et le deuxième point, c’est qu’il a été annoncé dans les Écritures. Son incarnation, c’est une étape clé dans le plan de Dieu. Alors Jésus existait avant la fondation du monde, mais son incarnation, sa venue sur terre sous forme humaine est fondamentale pour le salut de l’humanité. C’est annoncé dans l’Ancien Testament, dans Ésaïe 7 au verset 14. Il est dit : Le Seigneur lui-même vous donnera un signe. La Vierge sera enceinte, elle mettra au monde un fils et l’appellera Emmanuel. Ça, c’est écrit 700 ans avant la naissance de Jésus. Ésaïe, c’est 700 ans avant Jésus. C’est pourquoi nous pouvons placer notre confiance dans la Bible, car nous voyons que les prophéties bibliques se réalisent. Ésaïe a prophétisé la naissance du Christ. Et dans Ésaïe 9 au verset 5, on voit différents noms du de du Seigneur apparaître. Le texte dit : En effet, un enfant nous est né, un fils nous a été donné et la souveraineté reposera sur son épaule. On l’appellera Merveilleux Conseiller, Dieu Puissant, Père Éternel, Prince de la paix. Je vous ai mis la version en hébreu également. C’est des mots puissants, des mots chargés de puissance, les noms de Jésus. Admirable conseiller, Dieu puissant, Père éternel. Vous noterez que l’enfant est appelé Père éternel. C’est quand même spécial ça. On n’appelle pas un enfant Père éternel. C’est spécial. Cet enfant est spécial. De plus, Ésaïe continue en disant qu’il vient apporter une paix sans fin au trône de David, dès maintenant et à toujours, c’est le Christ éternel. Et c’est c’est vraiment une prophétie sur sur Jésus, car sa conception est divine, sa naissance est divine, il est vivant pour toujours. Et sa venue confirme les prophéties et cela confirme la puissance de la Parole de Dieu. Quand nous célébrons Noël, nous nous souvenons que les Écritures confirment que Jésus est Dieu enveloppé dans un corps et sous forme humaine. Mais vous allez me dire : « Mais Sébastien, comment Jésus peut-il sauver ? Comment es-tu si sûr qu’il est le chemin ? » Car il est je vous dis je vous donne la réponse, c’est parce qu’il est le seul à être conçu par le Saint-Esprit. C’est le seul homme conçu par le Saint-Esprit. Alors il n’y a pas plusieurs chemins qui mènent au paradis. Non, non, il y a une seule route. Et on peut faire fausse route, car il y a plusieurs chemins dans la vie, mais ils ne mènent pas tous à la même porte. Jésus dit dans Jean 10 : « Je suis la porte des brebis. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. Nul ne vient au Père que par moi », Jean 14 au verset 6. Il n’y a pas d’autre chemin vers le salut, et ça passe par la venue de Jésus dans ce monde. Parce que si Jésus n’était pas venu en chair dans ce monde, eh ben il n’y aurait pas de salut. Je n’invente rien, je vous dis simplement ce qui est écrit dans la Bible. Alors peut-être que tu n’es pas encore sur le bon chemin. Mais tôt ou tard, si tu veux sauver ta vie, tu dois venir à la porte et accepter que Jésus est né d’une vierge, conçu par le Saint-Esprit, et qu’il est Dieu sous forme d’homme. Mon prochain point, c’est le nom de Jésus. Alors le nom de Jésus, c’est important parce que le nom de Jésus en hébreu, c’est Yeshoua, ça veut dire Sauver, le sauveur ou ou délivrer. Et le nom, c’est important pour quel pour quelqu’un parce qu’il indique que ce que tes parents espèrent pour toi. Quand il te donne un nom. Il y a une raison probablement pour laquelle vos parents vous ont donné un nom. Moi ils m’ont appelé Sébastien, je sais qu’il y avait une raison là derrière. C’était pas une raison biblique, je veux pas vous la dire, mais c’était il y avait une raison. Et je pense que vous tous, il y avait aussi une raison et vous savez peut-être pourquoi vos parents vous y a d’autres Sébastien dans la salle, je sais pas quelle était la raison pour toi. Peut-être, oui. Alors, je vais pas vous la dire, hein, mais Alors moi, c’était intéressant quand j’étais en école biblique, et je tombais sur des étudiants qui étaient qui venaient de familles chrétiennes. Alors, il y en a un qui s’appelait Ephraïm, l’autre il s’appelait Josué, l’autre il s’appelait Nathan, l’autre il s’appelait Ézéquiel. Je dis : « Ah bon ! » Alors, je comprenais, voilà, je voyais d’où ces noms pouvaient venir. Mais les noms veulent dire quelque chose, ils ont une importance. Alors, Dieu, Jésus a plusieurs noms dans la Bible. Un nom qu’on a vu tout à l’heure, c’est Emmanuel, Dieu avec nous. Mais il y a d’autres noms. L’Alpha et l’Oméga, la Pierre angulaire, le Roi des rois, l’Étoile du matin, le Pain de vie, l’Agneau de Dieu, Prince de paix. Et dans chaque livre de la Bible, en vérité, à chaque page de la Bible, vous trouvez quelque chose sur Jésus. Et vous allez voir qu’il y a de la puissance dans le nom de Jésus. Dans Genèse, il est la descendance de la femme qui écrasera le serpent. Dans Exode, il est l’Agneau de Pâques. Dans Lévitique, il est le sacrifice d’expiation. Dans Nombres, il est le rocher frappé. Dans Deutéronome, il est le prophète fidèle. Dans Josué, il est le chef de l’armée de l’Éternel. Dans Juges, il est le libérateur divin. Dans Ruth, il est le rédempteur des rois. Dans 1 Samuel, il est l’Omniscient. Dans 2 Samuel, il est fils de David. Dans 1 et 2 Rois, il est le roi qui vient. Dans 1 et 2 Chroniques, il est le bâtisseur du Temple. Dans Esdras, il est le restaurateur du Temple. Dans Néhémie, il est le restaurateur des nations. Dans Esther, il est le protecteur des nations. Dans Job, il est le rédempteur vivant. Attendez, il m’en reste que 50. Dans Psaumes, il est la joie d’Israël. Dans Proverbes, il est la sagesse de Dieu. Dans Ecclésiaste, il est le Grand Maître. Dans le Cantique des Cantiques, il est celui qui se signale entre 10 000. Dans Ésaïe, il est le serviteur souffrant. Dans Jérémie, il est le faiseur d’alliance. Dans Lamentations, il est l’homme de Dieu. Dans Ézéchiel, il est la gloire de Dieu. Dans Daniel, il est le Messie à venir. Dans Osée, il est le fils de l’Éternel. Dans Joël, il est l’espoir d’Israël. Dans Amos, il est le laboureur. Dans Abdias, il est le sauveur. Dans Jonas, il est le ressuscité. Dans Michée, il est le juge des nations. Dans Nahum, il est le vengeur. Dans Habacuc, il est le Dieu Saint. Dans Sophonie, il est Roi d’Israël. Dans Aggée, il est le désir des nations. Dans Zacharie, il est le germe. Dans Malachie, il est le Soleil de Justice. Et j’ai trop bossé pour m’arrêter là. Alors je vous fais le Nouveau Testament aussi. Dans Matthieu, il est Roi des Juifs. Dans Marc, il est Serviteur de Dieu. Dans Luc, il est Fils de l’homme, ami des pécheurs. Dans Jean, il est simplement la Parole, le Logos. Dans Actes, il est le Seigneur et Christ ressuscité. Dans Romains, il est la justification du croyant. Dans 1 Corinthiens, il est le sanctificateur. Dans 2 Corinthiens, il est la lumière de nos cœurs. Dans Galates, il est la liberté. Dans Éphésiens, il est le Chef suprême. Dans Philippiens, il est la joie du chrétien. Dans Colossiens, il est le premier-né de toute la création. Dans 1 Thessaloniciens, il est le réconfort du croyant. Dans 2 Thessaloniciens, il est la gloire du croyant. Dans 1 Timothée, il est l’espérance du chrétien. Dans 2 Timothée, il est la récompense du chrétien. Dans Tite, il est l’espoir béni. Dans Philémon, il est le bénéfice du chrétien. Dans Hébreux, il est le souverain sacrificateur. Dans Jacques, il est Seigneur des armées. Dans 1 Pierre, il est le rocher. Dans 2 Pierre, il est la promesse précieuse. Dans 1 Jean, il est la vie. Dans 2 Jean, il est la vérité. Dans 3 Jean, il est la voie. Dans Jude, il est le juge. Dans Apocalypse, il est Roi des rois, Seigneur des seigneurs. Amen. Et je pourrais continuer toute la journée. Je peux vous dire qu’il est le lis de la vallée, qu’il est votre Sauveur, celui qui transforme les vies, qui console vos cœurs, qu’il est tout ce dont vous avez besoin dans votre vie. Il a souffert, lui aussi. Il s’est humilié lui-même, en devenant obéissant jusqu’à la mort à la croix, nous dit Philippiens. C’est pourquoi Dieu l’a l’a souverainement élevé et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom. Et à son nom tout genou fléchira et toute langue confessera que Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu, Philippiens 2 verset 9. Alors je sais pas pour vous, mais moi j’ai pas honte de son nom. J’ai été sauvé par son nom, j’ai été guéri par son nom, j’ai été délivré par son nom. Est-ce que j’ai des témoins de la puissance de son nom ici ce matin ? Moi je suis témoin. Amen. Alléluia. Parce que je vois toutes ces mains, il a fait quelque chose dans vos vies. C’est la puissance de Dieu qui a fait cela. À la mention de son nom, les démons tremblent et Satan bat en retraite. Moi-même j’étais très loin de Dieu, je m’enfonçais profondément dans le péché, plein de salissures au bord de l’abîme, très loin du rivage, mais le Seigneur a entendu mon cri de détresse et il m’a sauvé des eaux. J’étais en chemin direct vers la mort et l’enfer, et Jésus m’a relevé. Le Seigneur m’a sauvé. Est-ce que vous aimez le nom de Jésus ? Alléluia. Vous pouvez plus me faire douter de son existence réelle et surnaturelle. Vous pouvez pas me faire douter car j’en ai trop vu dans ma vie. J’en sais trop sur lui. Je sais qu’il existe, je sais qu’il est réel, je l’ai vu agir dans ma vie. Je peux que le remercier. Il est réel, il existe, il est vivant. Mais pourquoi est-il venu ? Je vous remercie de me poser cette question, car c’est mon prochain point : sa mission. Quelle est sa mission ? Au verset 21 de notre texte, on apprend, il est venu, il sauvera son peuple de ses péchés. Et sauver, ça veut dire délivrer. Nous sommes tous dans le besoin d’être délivrés. Vous êtes tous assez bons pour couvrir vos petites fautes. Moi aussi. Nous avons développé des tactiques sophistiquées pour masquer les zones d’ombre, les petits mensonges et les grands mensonges, et les petites immoralités et les grandes immoralités. Mais nous avons tous besoin d’être délivrés. Nous étions tous esclaves du péché, et nous avions tous besoin d’être délivrés et pardonnés. Grâce à Dieu, il nous a sortis de là, et il a fait de nous de nouvelles créatures. Nous le voyons dans Éphésiens 2 au verset 12 et 13. Éphésiens 2 les versets 12 et 13. Vous étiez en ce temps-là sans Christ, privés du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse, sans espérance et sans Dieu dans le monde. On a prêché à ce sujet dans la série sur Éphésiens. Mais maintenant, en Christ Jésus, vous qui autrefois étiez loin, vous êtes devenus proches par le sang de Christ. Nous étions coupés de Dieu, mais grâce à ce que Jésus a fait, nous pouvons maintenant avoir une relation personnelle à Dieu. De quoi est-ce que je veux parler ? Je parle du fait que tu n’as pas besoin de passer par un intermédiaire. Tu n’as plus besoin de passer par le confessionnal, ou par Marie, ou par un prêtre, ou par un pasteur. Tu n’as pas besoin d’offrande ou de sacrifice d’animaux. Tu as un contact direct avec Dieu, un accès direct à lui. Tu peux lui parler personnellement, tu n’as pas besoin d’aide de qui que ce soit. Alors évidemment, tes frères et sœurs, l’Église, c’est le corps du Christ, sont là pour t’aider, mais tu as un accès direct à Dieu. Et il comprend. Jésus comprend la tentation. Pourquoi ? Parce qu’il est passé par là également. En tant qu’homme, il a passé les 40 jours dans le désert, tenté par l’ennemi. À la seule différence, que lui a résisté. Et c’est pour cela qu’il a le pouvoir de vous aider à résister, parce qu’il est passé par là et il n’a pas péché. Alors c’est pas les cadeaux sous l’arbre qui sont importants à Noël. C’est le cadeau de Dieu de nous avoir donné son Fils unique pour que nous ayons la vie éternelle. Je crois qu’il est né d’une vierge, je crois qu’il a vécu une vie sans péché, je crois qu’il est mort à la croix, je crois qu’il a été enterré et je crois qu’il est ressuscité avec toute la puissance entre ses mains. Je crois cela. Je vous prêche l’Évangile. C’est l’Évangile qui sauve. Ayez la foi, il vous il vous promet de changer vos vies. Le Seigneur vous promet de changer vos vies. Et je sais, et je me réjouis de savoir qu’il y a des témoins, qu’il y a beaucoup de témoins dans la salle qui ont levé la main, qui ont vu cela. Mais si tu doutes encore, ne doute plus. Viens vers Jésus, viens à la croix aujourd’hui. Aujourd’hui, c’est le jour que le Seigneur a fait. Aujourd’hui, c’est un jour où tu peux revenir vers lui. Si tu doutes, si tu ne le connais pas encore, si tu si tu es en train de flancher, reviens vers lui. Et j’arrive à mon dernier point : son peuple. C’est un point important, car non seulement Jésus sauve, mais Jésus sélectionne son peuple. On a eu l’occasion d’en parler aussi dans la série sur Éphésiens, quand on a parlé de la famille de Dieu. Et je vous avais dit que vous pouviez vous réjouir parce que vous êtes désormais dans la famille de Dieu. Et je suis tellement reconnaissant qu’il m’ait choisi et qu’il vous ait choisi. Et que vous puissiez dire que vous êtes dans la famille de Dieu. Alors certains d’entre vous étaient dans des coins bizarres et étranges, en train de faire n’importe quoi, quand Jésus est venu vous chercher. Et il vous a sauvé. Et il n’avait pas besoin de le faire. Il y avait aucune obligation pour Dieu de vous sauver. Moi, j’aurais pu être parmi les milliers et les millions au dehors qui ne croient pas en lui et qui préfèrent croire au Père Noël et aux lutins. Il aurait pu passer à côté de moi sans me regarder, mais j’ai été j’ai été sauvé, car il m’a choisi. Et tu peux dire à ton voisin : « Jésus t’a choisi. » Dis-le lui. Tu étais au dehors, mais Jésus t’a choisi. Dis-le lui. Tu étais au dehors, mais Jésus t’a choisi. Et précisons bien une chose. Il est venu tout d’abord pour son peuple, les Juifs en premier, Jean 1 au verset 11. Il est venu pour les Juifs, mais ils ne l’ont pas reçu. Ils l’ont rejeté. Et ça pour nous, c’est une bonne nouvelle. Car en le rejetant, Dieu a ouvert la voie aux païens. Il a ouvert la voie à toutes les nations. Ici, c’est une église pour toutes les nations. C’est une église ouverte à toutes les nations, que tu sois suisse, péruvien, euh camerounais, congolais, brésilien, russe, ukrainien, palestinien. On est une église ouverte pour toutes les nations. On est tellement ouvert, c’est même ouvert pour les Bernois. Amen. Amen. Alléluia. Il a fait de nous son peuple. Il nous a choisis individuellement. Il nous a laissés entrer dans la famille. Je fais partie de la famille de Dieu. Alléluia. Et comment es-tu si sûr qu’il sauve ? Comment es-tu si sûr qu’il est unique et qu’il est spécial ? Eh ben ça, c’est pas c’est pas dans mes notes de Noël aujourd’hui. Mais si Dieu le veut, je reviendrai à Pâques, j’ai eu le privilège de prêcher ici à Pâques et je reviendrai encore à Pâques. Si Dieu le veut. Et je vous dirai que l’humanité a cherché quelqu’un comme lui tout partout. On n’a pas trouvé. Alors il y a eu des hommes célèbres. Mais ils n’étaient pas comme lui, parce que lui est unique, il est spécial. Pourquoi ? Parce qu’il est sorti de la tombe. Il est vivant. Or, il y a plein d’hommes célèbres, hein. créent toutes des courants spirituels. Bouddha, il est né, vécu, il est mort. Point. Le roi David, hein, même dans la Bible, il est né, il a vécu, il est mort. Point. Confucius, le grand philosophe chinois, il est né, il a vécu, il est mort. Point. Jésus, il est né, il a vécu, il est mort, virgule, enterré, virgule, ressuscité au troisième jour, virgule, monté au ciel, virgule, exalté à la droite de Dieu, virgule, il intercède pour nous, virgule, et il revient pour nous un jour glorieux, point d’exclamation. Amen. Alléluia. Je peux pas douter de lui, je peux plus douter de lui, car j’en ai trop vu sur lui. Il est réel, il est vivant et il agit dans ma vie. Et grâce à lui, nous avons la vie éternelle. C’est ceci que nous célébrons pendant cette période de l’avant. Et nous allons célébrer la Sainte Cène aujourd’hui. Et la Sainte Cène, c’est un rappel que Dieu est vivant. Moi, j’aime bien appeler la Sainte Cène une passerelle entre la Terre et le ciel. Parce que Dieu n’est pas imaginaire, Jésus n’est pas imaginaire. Il insiste. Jésus insiste dans la Bible sur l’importance de sa réalité physique. L’importance qu’il est bien venu en chair et en os et qu’il est ressuscité aussi en chair et en os. Et il insiste sur le fait. Il dit : « Ceci est vraiment mon corps, ceci est vraiment mon sang. » Parce que s’il était pas venu en chair et en os, il n’aurait pas été notre Sauveur. Il n’y aurait pas eu l’expiation des péchés à la croix. Il n’y aurait pas eu la le le salut pour nous tous. Donc souvenons-nous, quand nous prenons la Cène tout à l’heure, de l’importance du corps de Jésus, l’importance du fait qu’il est vraiment venu sur Terre physiquement, et que quand il est ressuscité, c’est pas juste une sorte de fantôme qui est monté au ciel. Non. C’est lui, en chair et en os, et il est vivant en ce moment. Il est vivant en ce moment, en chair et en os, dans les lieux célestes, assis à la droite du Père, et il intercède pour nous. Alors, souvenons-nous de cela, et donnons toute l’importance nécessaire à cette célébration de la Sainte Cène, surtout dans cette période de l’année où nous où nous allons célébrer son incarnation, sa venue sur Terre. Jésus est vivant, chers frères et sœurs. Nous allons le célébrer ce matin. Amen.